Il existe une corrélation positive entre la performance d’une organisation et le degré de développement des capacités émotionnelles des leaders qui la composent.
De manager à dirigeant
Pour devenir dirigeant/dirigeante, un manager devrait posséder des compétences spécifiques qui dépassent les fonctions de gestion quotidiennes. En plus de la capacité à diriger et à superviser une équipe, il a besoin d’avoir des compétences en communication, en planification stratégique, en résolution de problèmes complexes et en prise de décisions éclairées. Il doit également être capable de penser de manière créative, de collaborer efficacement avec d’autres équipes et d’avoir une vision à long terme pour l’entreprise. Et avoir une grande capacité à apprendre rapidement, à s’adapter aux changements et à innover sont des aptitudes qui facilitent l’exercice du pouvoir d’un dirigeant. Enfin, il doit avoir une forte éthique professionnelle et être un leader inspirant pour son équipe.
Les compétences d’intelligence émotionnelle d’un dirigeant
Se développer en tant que dirigeant et leader demande de pouvoir « jongler » efficacement avec un ensemble de facteurs « négatifs » qui impactent l’émotionnel. Cela nécessite d’apprendre à renforcer certaines compétences d’intelligence émotionnelle pour réussir à diriger son ou ses équipes de manière efficace. Tout d’abord, une personne qui dirige doit bien se connaître car elle doit être capable de reconnaître et de comprendre ses propres émotions afin de les gérer de manière appropriée. Ensuite, elle doit être en mesure de percevoir les émotions des autres et de les traiter avec empathie. Elle doit également être capable de communiquer efficacement avec son équipe et résoudre les conflits de manière constructive. Enfin, elle doit être capable d’inspirer et de motiver les membres de son équipe en créant un environnement de travail positif et en encourageant la collaboration.
Les 4 réducteurs de leadership
Parmi l’ensemble des échelles et sous échelles d’intelligence émotionnelle proposées par l’indicateur EQI2, 4 compétences sont plus spécifiquement pour identifier des réducteurs au leadership
- Une bonne gestion du stress pour être en mesure de décider et d’interagir lors de situations de tension.
- Un certain contrôle des impulsions, c’est-à-dire pouvoir réguler ses impulsions avant de décider toute action qui pourrait être ensuite être perçue comme excessive.
- Une gestion efficace de ses émotions lors de prises de décision de façon à pouvoir mettre en œuvre des solutions efficaces
- Une certaine indépendance aux influences extérieures, c’est-à-dire rester maître de ses actions et ses décisions
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