Qu’est-ce que la neurotypologie ?
La neurotypologie ® est une approche innovante, interdisciplinaire, née sur le terrain et fondamentalement pragmatique.
Des chercheurs en neurosciences (dont Jonathan Niednagel, Katherine Benziger) ont développé une méthode de diagnostic depuis 2000 qui correspond à une méthode opérationnelle de diagnostic des profils à partir de la motricité. Or selon eux, il est important de comprendre comment notre cerveau interagit avec notre corps. La motricité résultante serait propre à chaque profil de personnalité.
L’indicateur de personnalité de référence, #le MBTI®
Identifier son #profil MBTI® revient à prendre conscience de ses forces mais aussi de ses axes de progrès. Les forces correspondent à des tendances naturelles de comportement, c’est-à-dire avec à une dépense d’énergie psychique optimum.
En phase avec cette théorie, le principe de la neurotypologie consiste à identifier ses gestes naturels. Ce geste correspond à une motricité naturelle source de performance et qui évite les blessures.
Les recherches de neurosciences mettent en avant le rôle unique de chaque médiateur dans le contrôle de fonctions spécifiques du corps. Ainsi à chaque type de personnalité est associé un médiateur chimique prédominant. Selon sa quantité, en excès ou en déficit, il y aura un impact le sur le fonctionnement électrique du cerveau.
Petit rappel sur l’indicateur de personnalité Myers-Briggs
L’indicateur de personnalité jungien MBTI® se compose de 8 dimensions qui correspondent à 4 attitudes (introversion, extraversion, organisation, perception) et à 4 fonctions ( recueil des informations de façon conceptuelle ou pratique et prise de décision de façon rationnelle ou de façon logique affective).
On arrive ainsi à 16 combinaisons qui décrivent en partie la personnalité de chacun.
Et jusqu’au bout de la logique
Cette compréhension de notre mode de fonctionnement nous amène à remettre en question notre perception des autres. Nos différences sont alors perçues comme complémentarités et non plus comme oppositions.
Ainsi ce qui est bon pour nous n’est pas forcément bon pour les autres. De même, le mode d »apprentissage varie selon le profil, il serait donc intéressant qu’on enseigne comme les enfants apprennent. Et enfin considérer le stress comme un indicateur du changement pour explorer de nouvelles approches.
Source – Neurotypologie® et préférences motrices Hamelynck Vincent, Jacquemin Christophe, Verraver Olivier